STURGIS.

Un des rassemblements les plus connu dans le monde Biker, Au mois d'aout de chaque année depuis 1938. En effet l'on doit cette organisation à M.Clarence J.J dit "Pappy Hoel". Au départ cela ressemblait plus à une foire, des courses de motos, des cascades, des motos brulées, des murs de feu à franchir ect... Ce qui n'était qu'un rassemblement d'initiés et de quelques bandes de motards est devenu la concentration de référence pour Harley Davidson qui a senti le bon coup en implantant pas très loin des locaux. Tout si prête, le cadre des Monts Rushmore, un cadre naturel magnifique, enfin bref la totale, Aujourd'hui, des hordes de motards de tous poils débarquent avec quelques devises dans les sacoches et Hop c'est parti, c'est la teuf, les parades,les tours opérators,les magasins en tout genre et pour tous les goûts. Bref 10 jours de folie ou l'espace de quelques jours, tout le monde ce transforme en bikers purs et durs avec bien sur une chambre d'hôtel, un bon lit et le tout climatisé pour la nuit, 38°C la journée cela chauffe les corps et les esprits, enfin c'est juste mon avis !!.

Sturgis city

Située dans les Blacks Hills, cette ancienne ville était le répère des chercheurs d'or du début de siècle, comme tout le monde connait la nature envahissante des Ricains, ils ont pris cette terre aux indiens Sioux si si c'est blueberry qui me l'a dit, avant de devenir une ville de bikers qui connu des incidents qui tourna au drame avec quelques morts (overdose de plomb) à cause de rivalité entre clans. Bien entendu la police prit les dispositions qui s'imposèrent pour que dorénavant ce rassemblement ce passe le mieux du monde pour le plus grand plaisir de tous.

L'affluence

Chaque année les bikers of the world se donnent rendez vous sur le chemin de traverse de Main Street, on compte environ 300 à 400.000 personnes qui se décompose en 70% d'hommes 30% de femmes et 100% de joyeux fétars.Harley Davidson peu une nouvelle fois bénéficier des retomber commerciales et économiques qui plairait à plus d'une entreprise.

Pour une ville qui ne doit pas dépasser 6000 personnes le reste de l'année, les 10 jours accordés aux envahisseurs rapportent plusieurs millions de dollars à la commune qui n'en demandait pas mieux.

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